V33-02-Cotentin-2022

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Cotentin - Juin > juillet 2022


Semaine 2 / 2   (981 km)

 

La "Petite Irlande", Cherbourg et la côte est, Utah Beach ...

Publication : 14.07.2022
#laperleebcc #laperleencc33


Vous trouverez ici une sélection de photos ou vidéos dans les fenêtres de notre Instagram (avec parfois une petite flèche à droite de la photo pour faire défiler l'album).

Vous trouverez également de nombreuses images 360° de Google Maps. Si ces dernières ne s'affichent pas, il suffit juste de cliquer sur le lien Afficher dans Google Maps (en haut à gauche de la photo noire) pour avoir la vue en grand format dans une nouvelle fenêtre.

La carte du voyage de la semaine : 

A partir de cette carte, en cliquant sur les petites icones (bivouac, pique-nique, visites, services, commerces, etc ...), vous pouvez avoir accès directement au compte-rendu de cette journée en cliquant sur le lien proposé.

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➤ J8 : Goury > Cherbourg (33 km)

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Après une nuit calme, et un peu de pluie, nous prenons la direction du plus petit port de France ... Port Racine ...

Au passage, petit arrêt vers un ancien moulin à vent, qui offre un beau panorama sur la Manche ...









Puis nous arrivons à Port Racine.




>> Port Racine (Wikipédia)

Nous retournons un peu dans les terres pour un arrêt à Gréville, la patrie du célèbre peintre Jean-François Millet (1814-1875) ... connu en particulier par ses œuvres L'Angélus (1857) ou Les  Glaneuses (1857) exposées au musée d'Orsay (Paris).



Nous souhaitons faire les services sur l'aire de camping-cars (P4n), mais tout est en panne. Même la boulangerie, qui propose une célèbre et délicieuse spécialité "le Grévillais", est fermé. Ce n'est pas notre jour de chance.



L'église de Gréville, entre 1817 et 1874, huile sur toile par J.-F. Millet (Musée d'Orsay)


Œuvre du sculpteur cherbourgeois Alphonse Marcel-Jacques, présentée au Salon en 1897. Ce bronze est inauguré le dimanche 25 septembre 1898.


>> Gréville (Wikipédia)
>> Jean-François Millet (Wikipédia)
>> Maison de J.-F. Millet (Wikipédia)
>> Maison de J.-F. Millet (Conseil général de la Manche, site officiel)

>> Des Glaneuses (Site officiel Musée d'Orsay)
>> L'Angélus (Site officiel Musée d'Orsay)
>> L'Eglise de Gréville (Site officiel Musée d'Orsay)

Nous prenons donc la direction de Cherbourg, et trouvons à nous stationner sur le parking de la Cité de la Mer. Le parking officiel pour camping-cars (P4n) est plein (seulement 20 places), mais nous trouvons une place sur une dalle de béton, fondation d'un ancien entrepôt (P4n). Au total, il y bien une cinquantaine de camping-cars...



Nous visitons cette Cité de la Mer, abritée depuis 2002 dans l'ancienne gare transatlantique, et qui offre plein de surprises ...

Le bâtiment de cette gare transatlantique est majestueux, inauguré en 1933. C'est le plus grand ensemble architectural Art Déco de France, conçu par l'architecte René Levavasseur (1881-1962), et fait de béton armé, briques claires et pierres imitant le granit.
En 2002, le site, entièrement restauré, est ouvert au public, servant d'espace d'accueil pour la Cité de la Mer.





Nous débutons par une visite du premier sous-marin nucléaire lanceur d'engin (SNLE), Le Redoutable. Sa construction débute en 1964. Inauguré en 1971, il est désarmé en 1991 et ouvert au public depuis 2002. A son bord 16 missiles à tête nucléaire et quatre tubes lance-torpilles, le tout servi par un équipage de 135 personnes. Il mesure 128 m de long pour une largeur de 10 m et pouvait rester 65 jours en plongée.

La visite audioguidée est très complète. Elle débute par les moteurs et les équipements techniques, puis le poste de lancement des missiles et le poste de pilotage. On découvre ensuite le carré des officiers, le foyer, la cuisine et même le bloc opératoire et les cabines. On termine la visite par le poste de lancement des roquettes de défense.




Vue 360° du poste de pilotage

Le site Internet officiel www.citedelamer.com, l'espace Le Redoutable offre une multitude d'informations (historique, technique, vie à bord, etc ....) .... une véritable mine ... (voir lien ci-dessous).


>> Espace Le Redoutable (Site officiel www.citedelamer.com)
>> Dossier thématique sur le Redoutable, fichier PDF 23 pages (Site www.citedelamer.com)


Nous continuons par la visite de l'exposition "Titanic, retour à Cherbourg"... Nous sommes cependant un peu déçu ... la scénographie est sommaire (en comparaison avec la visite à Saint-Nazaire de l'Escal'Atlantic qui proposait une véritable reconstitution d'un paquebot Le Normandie ... en aout 2021).
Et l'exposition peut-être un peu trop conceptuelle pour nous ...

L'immense salle des bagages de la gare transatlantique

Les anciennes passerelles d'embarquement.

Par contre, le site Internet dédié à l'exposition (www.cherbourg-titanic.com) regorge d'informations tant sur le paquebot et son histoire que sur la ville de Cherbourg à l'époque des grands transatlantiques ... (voir lien ci-dessous).

A proximité de l'aire camping-car, petit stèle commémorative du naufrage du Titanic.


>> Exposition Titanic, retour à Cherbourg (Site officiel www.citedelamer.com)
>> Tout sur le Titanic et Cherbourg (Site www.cherbourg-titanic.com)


Nous terminons la visite par l'exposition l'Océan du futur ... et son grand aquarium de 11 m de hauteur.


>> Espace Océan du futur (Site officiel www.citedelamer.com)



>> Cité de la Mer (Wikipédia)
>> Cité de la Mer (Site officiel)

Après ces visite, nous prenons la direction du centre ville de Cherbourg pour acheter du pain et faisons une petite pause sur la place du Général de Gaulle, face à la fontaine ...




Retour au camping-car pour la soirée ... et petite promenade au coucher du soleil ...






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➤ J9 : Cherbourg (0 km)

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Après une nuit calme, c'est avec le soleil, que nous décidons de visiter la ville de Cherbourg en suivant le circuit proposé sur un dépliant de l'office du tourisme. Nous commençons par l'ancienne Banque de France qui abrite depuis 2014 la Manufacture de parapluie. .... .... ... ..




Nous déjeunons dans un charmant restaurant sur le port, La Régence. Très bon accueil, et un repas très copieux et gouteux : une énorme marmite de moules au camembert (13 euros) un plat du jour excellent (filet mignon) et en dessert le crumble pomme/prune est une tuerie. Une adresse à retenir (3 cocottes et 2 chemines en Logis de France)... 


>> Restaurant La Régence (Tripadvisor)


Au retour vers le camping-car, nous faisons une petite halte pour voir le chalutier Jacques-Louise. Mis à l'eau en 1959 et désarmé en 1991, ce bateau est classé aux Monuments historiques. Il est malheureusement en état d'abandon, mais une restauration est programmée pour le second semestre 2022.





>> Le Jacques-Louise (Wikimanche)
>> Le Jacques-Louise (Base Palissy, ministère de la Culture)

La soirée sera un peu bruyante avec des concerts tardifs de l'autre coté du port.


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➤ J10 : Cherbourg > Quinéville (65 km)

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Au départ, nous faisons les services sur l'aire de camping-cars (P4n) toute proche.


Puis nous prenons la direction du Cap Lévi, qui offre, au pied du phare, une belle vue sur la baie de Cherbourg (P4n).





>> Cap Lévi (Wikipédia)

Nous continuons sur la côte, pour faire la pause déjeuner au pied du phare de Gatteville à la Pointe de Barfleur (P4n). 


Le premier phare est construit en 1774 (il abrite aujourd'hui le sémaphore). Le phare actuelle est construit entre 1828 et 1835 par l'architecte et ingénieur des ponts et chaussées Charles-Félix Morice de la Rue. C'est le plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge).


Et pour la digestion, rien de mieux que l'ascension au sommet du phare, qui est toujours le second plus haut de France et d'Europe ... exactement 349 marches (et pas 365 !).
En haut la vue à 360° est exceptionnelle avec un temps superbe ... soleil et ciel bleu. Il est même possible de faire le tour complet de la lentille ... 





Appuyer éventuellement deux fois sur la flèche pour lancer la vidéo

Une eau d'une transparence exceptionnelle ...


>> Phare de Gatteville (Wikipédia)

Nous faisons ensuite un petit arrêt dans le village de Gatteville pour voir la chapelle des Marins, Notre-Dame-de-Bon-Secours, construite sur une ancienne nécropole mérovingienne et qui a conservé son abside romane.


L'église du village (XVIIIe s.) a conservé son clocher du XIIe s.



Puis direction le village de Barfleur, classé parmi les plus beaux villages de France. Nous trouvons facilement à stationner sur le parking camping-cars (P4n).


Sa station de sauvetage est la première construite en France (1865), mais l'abri actuel date de 1954. Elle abrite un petit musée avec l'ancien canot.







>> Barfleur (Wikipédia)

Après cette étape, petit détour par La Pernelle (P4n).


Un peu en retrait de la côte, ce point haut propose une belle vue sur la côte est, depuis le phare de Gatteville jusqu'aux falaises de Grandcamp., et sur l'île de Tatihou.


Nous sommes stationné sur le parking du restaurant Le Belvédère, juste à coté d'un pré qui abrite trois ânes. Nous en profitons donc pour leurs donner les quelques croutes de pain que nous avions accumulées depuis le départ.

>> La Pernelle (Wikipédia)

Nous voilà à présent dans le secteur de Utah Beach, haut-lieu du Débarquement alliés de 1944 ....

Nous décidons de nous arrêter à Quinéville pour visiter le musée mémorial, le World War II Museum (un site privé qui change souvent de nom !).

Nous stationnons pour la nuit sur le parking camping-cars en bord de plage (P4n).


Ce mémorial propose une scénographie hyper réaliste d'une rue de village, et raconte, avec de nombreux panneaux, la vie quotidienne des Normands, et des Français, sous l'occupation. Une très bonne entrée en matière avant de visiter les plages du Débarquement ... 







En soirée, nous faisons un petit tour dans le village et sur les bord du petit port à marée basse.


>> Quinéville (Wikipédia)
>> World War II muséum (Wikimanche)
>> World War II Museum (Site officiel)



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➤ J11 : Quinéville > Ravenoville-Plage (31 km)

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Le Dimanche matin, petit tour à la boulangerie du village pour acheter le pain et les croissants frais. On en profite pour une fois que nous bivouaquons proche d'une boulangerie !

Nous déjeunons sur place, en achetant un demi-poulet rôti au marchand ambulant tout proche.

En début d'après-midi, nous prenons la direction de la batterie de Crisbeck (Saint-Marcouf) (P4n).




>> Batterie de Crisbeck (Wikipédia)

Puis nous prenons la direction de celle d'Azeville (P4n). Il est possible de dormi sur le parking de cette dernière.


La batterie d'Azeville se visite avec un audioguide qui explique très bien la vie au quotidien des quelques 170 soldats allemands chargés de la surveillance depuis cet élément du Mur de l'Atlantique.
On pourra remarquer en particulier les traces du camouflage des casemates pour qu'elles aient, vu du ciel, l'apparence d'une maison normande en ruine. De faux murs en pierre, une porte, des fenêtres, des arbres.







>> Batterie d'Azeville (Wikipédia)
>> Batterie d'Azeville (Site officiel

>> Le Mur de l'Atlantique (Wikipédia)

Maintenant que nous avons bien appréhendé le contexte historique, nous pouvons aborder le D.Day ...

Et nous débutons par l'incontournable ville de Sainte-Mère-Eglise. Nous trouvons facilement à stationner gratuitement sur un parking proche du centre-ville (non répertorié sur P4n).


A notre arrivée sur la place de l'église, nous sommes accueillis par des chants américains de l'époque du débarquement, que propose un groupe musical sur une estrade.

Appuyer éventuellement deux fois sur la flèche pour lancer la vidéo



La commune est devenue célèbre car dans la nuit du 5 au 6 juin 1994, la 82e division aéroportée US est amenée par 443 C-47 et 82 planeurs de transport sur le but, autour de Vierville. Malgré la dispersion des unités, elle peut remplir son objectif (opération Boston), qui est de se rendre maitresse de la petite ville de Sainte-Mère-Église.

Bien évidemment un regard et un recueillement pour le pauvre parachutiste qui resta plus de deux heures accroché sur le clocher. Il s'agit du parachutiste de la 82e division aéroportée John Steele, qui est resté accroché lors de sa descente en parachute, le 6 juin 1944.

Des changements depuis notre visite en juillet 2009 ... La place de l'église n'est plus un parking ... heureuse initiative.

En juillet 2009 ... 
... et aujourd'hui ...

Nous visitons le musée Airborne qui abrite un des rares exemplaires des planeurs Waco et un avion Douglas C-47 (bâtiment C47) qui a transporté les parachutistes. Ce dernier espace est très bien réalisé sur le plan de la scénographie ... 


Enfin l'espace Opération Neptune donne à comprendre cet épisode -le premier d'une longue série- de la bataille de Normandie, dans une scénographie très immersive. 
L'opération Neptune est la partie débarquement et l'établissement d'une tête de pont côtière au sein de la plus vaste opération Overlord, qui vise quant à elle à l'établissement d'une tête de pont de plus grande échelle dans le Nord-Ouest de l'Europe.

Une tablette tactile (HistoPad) permet une totale immersion dans le Sainte-Mère-Eglise de 1944, en réalité augmentée. Un aspect très ludique peut-être indispensable pour sensibiliser les nouvelles générations, mais malheureusement avec un aspect un peu trop ludique à notre goût. Il n'est pas simple de concilier mémoire, émotion, recueillement, respect et transmission ... L'exercice est complexe, et l'équilibre très subtile.


>> Sainte-Mère-Eglise (commune) (Wikipédia)

>> Airborne museum (Site officiel)

>> Bataille de Normandie (Opération Overlord) (Wikipédia)
>> Les planeurs Waco (Wikipédia)
>> Les avions Douglas C-47 (Wikipédia)

>> Tourisme baie du Cotentin (Site officiel)

Nous reprenons la route pour rejoindre la côte et trouver un spot nature pour la nuit. Nous trouvons un petit espace en bord de plage qui offre une belle vue sur la Manche (P4n). Nous sommes tout proche du Fort de Ravenonville. C'est très certainement le plus beau bivouac du voyage.


Avant de souper, petite balade jusqu'à Ravenoville-plage et son bel alignement de maisons balnéaires ... les Cabines.


>> Ravenoville (Wikipédia)

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➤ J12 : Ravenoville-Plage > Sainte-Marguerite-de-Carrouges (183 km)

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Nuit très calme et super soleil au petit déjeuner. Départ pour longer encore un petit moments les côtes normandes d'Utah Beach avant de prendre la route du retour.

Nous faisons un petit arrêt au monument consacré à la IIè D.B. du Général Leclerc qui débarquera ici le 1er aout 1944, sur la commune de Saint-Martin-de-Varreville (P4n).


C'est le départ de la Voie de la IIe DB qui va , via Paris, jusqu'à Strasbourg et l'Allemagne. La première borne a été installée ici en 2004. Ces bornes du Serment de Koufra commémorent l’accomplissement du serment prononcé le 2 mars 1941 à l’oasis de Koufra en Libye .

Début 1941, Tchad : après trois mois de préparatifs dans un environnement de pénurie quasi-totale, une modeste colonne motorisée de Français libres, sous les ordres du général Leclerc, se lance à la conquête du Fezzan italien (Libye). Son premier objectif : l’oasis de Koufra. Le 2 mars 1941, après la levée des couleurs sur le fort, Leclerc fait prêter le serment entré dans l’histoire  « Jurons de ne déposer les armes que le jour où nos couleurs, nos belles couleurs, flotteront sur la cathédrale de Strasbourg… ». 



Le M3 Half Track, en juillet 2009 ...

... et aujourd'hui, restauré.






>> La Voie de la IIe DB (Wikipédia)
>> La Voie de la IIe DB (Site officiel, fondation Maréchal Leclerc)

>> Le char M4 Sherman (Wikipédia)
>> Le M3 Half Track (Wikipédia)

Il est possible de visiter les plages du Débarquement à bord d'une Jeep ...




Quelques kilomètres plus loin, dernière étape mémorielle aux monuments du débarquement d'Utah Beach (P4n). 


C'est ici le départ de la Voie de la Liberté, avec la borne 00 (la borne 0 se trouve à Sainte-Mère-Eglise), voie commémorant la victoire des Alliés et la libération de la France, de la Belgique et du Luxembourg pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle est matérialisée par une série de bornes kilométriques le long du réseau routier entre Sainte-Mère-Église (borne 0) et Utah Beach (borne 00), en Normandie, et Bastogne, dans la province belge du Luxembourg, marquant l'itinéraire suivi par la 3e armée américaine commandée par le général Patton.

Utah Beach possède en outre plusieurs monuments commémoratifs (- Le monument des États-Unis. - Le monument à la 4e division d'infanterie américaine, - Le monument à la 90e division d'infanterie américaine, - Le monument Higgins-Boat inauguré à l'occasion du 71e anniversaire du Débarquement en 2015). Tout cela donne malheureusement un aspect un peu confus et brouillon au site.

A l'arrière du bar Le Roosvelt, dans une ancienne casemate, se trouvait le premier centre de communication des Alliés au moment du Débarquement.


>> Utah Beach (Wikipédia)
>> Voie de la Liberté (Wikipédia)

Nous ne continuerons pas sur la route du Débarquement. Nous avions en effet eu l'occasion de visiter les plages du débarquement en juillet 2009.

Dernière étape touristique dans la ville de Carentan (P4n).



L'objectif et d'aller voir la seule barge américaine du débarquement authentique et en état de navigation, amarrée dans le joli petit port, un LCVP (Landing Craft, Vehicle, Personnel) ou Higgins Boat ... immatriculé "PA30-4". Elle pouvait transporter 36 soldats, soit l’équivalent d’une section, et filer 9 nœuds (16,7 km/h) à pleine charge. 

Elle voisine avec une belle copie d'un drakkar, le Dreknor, qui est ici depuis 2013. 
C'est un bateau construit à Tourlaville, près de Cherbourg. Son nom est l'abréviation de dreki (« dragon ») et de Nortmannia (« Scandinavie ») mot devenu Normandie à partir du Xe siècle. Il s'agit de la réplique historique du bateau de Gokstad, le plus grand navire viking de guerre de la fin du IXe s. retrouvé en Norvège. Il a été baptisé le 14 juin 2008.


>> Carentan-les-Marais (Wikipédia)
>> LCPV - Higgins boat (Wikipédia)
>> Challenge LCVP (Site officiel)

>> Le Dreknor (Wikipédia)
>> Le Dreknor (Site officiel)
>> Le bateau viking de Gokstad (Wikipédia) 


Nous prenons ensuite la direction de la banlieue de Caen pour faire les services dans une concession camping-cars (P4n).


Puis direction le sud, pour faire étape dans un France Passion, la ferme cidricole de Corinne et Hugues Desfrièches, sur la commune de Sainte-Marguerite-de-Carrouges.


Nous sommes malheureusement accueilli très froidement par la maitresse de maison (une première chez un exploitant FP). Nous arrivons pourtant à 18h36 sachant qu'il est demandé d'arriver avant 19 h. N'ayant pas de plan B nous restons quand même, espérant que cela n'est qu'exceptionnel (les avis sur le site Internet de FP mentionnent un très bon accueil de la part de monsieur, mais ...).


>> France Passion (Site officiel)

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➤ J13 : Sainte-Marguerite-de-Carrouges > Lyon (669 km)

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Nous tentons de partir pas trop tard, car l'étape de la journée sera longue. Nous devons en effet rejoindre Lyon avant ce soir. Ce sera donc autoroute sur la presque totalité du parcours.

Juste avant de prendre l'A28, nous faisons le plein de gasoil à la station Total d'Alençon.


Changement de chauffeur et achat du pain à la station Shell de l'aire de Sarthe-Touraine (A28).


Petit arrêt sur l'aire du Jarrier (A85, entre Romorantin et Vierzon) pour la pause déjeuner. 


Nous quittons l'autoroute momentanément à Montmarault et faire le plein de gasoil à Varennes-sur-Allier.
Nous nous étions arrêté en juillet 2021 pour une nuit à Montmarault lors de notre voyage 27, lors du retour de la Bretagne et de la Vendée. 


Nous restons sur la Nationale 7 pour rejoindre Roanne. Pas de chance, nous rencontrons un bouchon à Saint-Germain-Lespinasse (Nous en profitons pour changer de chauffeur). Des travaux neutralisent la nationale, et nous devons prendre une déviation par Noailly, La Bénisson-Dieu, Briennon et Mably. Heureusement que google maps nous propose une autre solution que le panneau de déviation. Ce dernier propose de rejoindre la nationale au nord de Roanne, mais avait un autre bouchon de près de 30 mn !
Nous préférons donc rejoindre le contournement plus à l'est. Après la montée de Vendranges, nous rejoignons l'autoroute A89 à Balbigny. Lyon est maintenant en ligne de mire !