V29-10-Andalousie-2021-2022

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Andalousie - Décembre 2021 > Février 2022


Semaine 10 / 14   (849 km)

 

Chipiona et Sanlúcar de Barrameda / La Rabida / El Roncío / Minas de Riotinto / Punta Umbria / Isla Cristina et Jerez de la Frontera

Publication : 01.04.2022 / maj 21.04.2024
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Vous trouverez ici une sélection de photos ou vidéos dans les fenêtres de notre Instagram (avec parfois une petite flèche à droite de la photo pour faire défiler l'album).

Vous trouverez également de nombreuses images 360° de Google Maps. Si ces dernières ne s'affichent pas, il suffit juste de cliquer sur le lien Afficher dans Google Maps (en haut à gauche de la photo noire) pour avoir la vue en grand format dans une nouvelle fenêtre.

Le tracé de la semaine ...

La carte du voyage de la semaine : 


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➤ J64 : El Puerto de Santa María > Chipiona > Sanlúcar de Berrameda  (50 km)

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Au départ de El Puerto de Santa María.


Nous prenons la direction du Nord, et faisons les courses et les services au centre commercial El Paseo (Carrefour), puis déjeunons sur le parking (P4n) (Caramaps).


Nous nous arrêtons à Chipiona pour voir le sanctuaire de Nuestra Señora Santa María de Regla, dont l'église a été reconstruite au début du XXe s. dans un style très éclectique. Seul le cloître est du XVe et a conservé une belle frise d'azulejos du XVIIe s.



Cliché : https://www.santamariaderegla.com


Chipiona est une petite station balnéaire très paisible en hiver ...

>> Chipiona (Wikipédia)

Nous passons la nuit sur la nouvelle aire de camping-car de Sanlúcar, tenu par un jeune couple dont le monsieur parle très bien le français (P4n) (Caramaps).

La vue Google StreetView date de juin 2016 ... l'aire n'existe pas encore !



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➤ J65 : Sanlúcar de Berrameda > Huelva, la Rábida (225 km)

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Le matin, direction Sanlúcar de Berrameda, paisible ville de plus de 67 000 habitants qui s'étend sur les marais du Guadalquivir. Sa terre sableuse est propice à l'un des meilleurs vins secs de l'Andalousie, le manzanilla.

>> Le Manzanilla (Wikipédia)


Notre visite débute par la place del Cabildo au cœur de la ville, puis nous continuons en direction de l'église de la Trinidad qui abrite un très beau artesonado mudéjar du XVe s. et un rétable baroque du XVIIe s. Nous poursuivons par le couvent de la Regina Coeli construit au début du XVIe s. pour l'ordre franciscain des Clarises. Sur la grande façade, deux grands frontispices accueillent les statues de sainte Claire et de la Vierge à l'Enfant.
Nous montons ensuite vers la ville haute en passant devant les caveaux, vestiges probables du palais construit par les ducs de Medina Sidonia au XVe s. Cinq arcs en accolade ornés de nervures gothiques et de dragons ailés subsistent.

Juste au dessus, nous visitons le Palais des Orléans et des Bourbons, construit au XIXe s. comme résidence d'été des ducs de Montpensier (descendants du roi Louis-Philippe). L'édifice abrite aujourd'hui l'hôtel de ville et seul le jardin est accessible. Il est malheureusement bien terne en hiver.


Au hasard des rues ... une belle cour intérieure ...



Nous passons devant l'église de Nuestra Señora de la O qui possède un beau portail mudéjar du XIVe s. pour rejoindre le château de Santiago avec son imposant donjon du XIIIe s. et où résida la reine Isabelle la Catholique. Les quatre tours et l'enceinte ont été rajoutées au XVe s.

Portail de l'église de Nuestra Señora de la O.




Nous passons également devant l'église Saint-Dominique de l'ancien couvent construit en 1548.


De retour dans la basse ville, nous déjeunons au camping-car, stationné tout proche du Guadalquivir.


 

>> Sanlúcar de Berrameda (Wikipédia)

Nous reprenons la route pour rejoindre Huelva. A vol d'oiseau c'est à 67 km, mais avec le delta du Guadalquivir et ses marais, nous devons faire un important détour par Séville, via l'autoroute, soit 189 km !

Nous longeons la ville de Huelva par l'ouest et traversons la zone portuaire et industrielle pour arriver à La Rábida.
Nous stationnons sur le grand parking du Foro Iberoamericano (P4n) (Caramaps).


Avant la nuit nous faisons une petite promenade jusqu'au Môle des Caravelles tout proche. Nous sommes juste à coté du couvent d'où Christophe Colomb est parti pour son premier voyage en août1492 vers les Amériques. La Rábida est aujourd'hui un centre extrêmement important pour les relations entre le vieux continent et l'Amérique (particulièrement l'Amérique du sud) et on ne compte plus les nombreux monuments en lien avec ces relations.




Le monument Le Plus Ultra commémore le premier grand vol espagnol et le premier au monde à avoir réussi à traverser l'Atlantique Sud en 1926 avec un seul appareil, l'hydravion baptisé Plus Ultra .
Il a décollé le 22 Janvier 1926 devant le Monastère de la Rábida avec quatre membres d'équipage à son bord. Ce monument de 6 mètres de haut, œuvre du sculpteur Agustín Riganelli, a été offert en1929 à l'Espagne par l'Argentine en retour du leg de l'avion aux Argentins par les Espagnols. L'avion est aujourd'hui exposé au musée Le Lujan à Buenos Aires.


>> Vol du Plus Ultra (Wikipédia espagnol)
>> Histoire du vol (Site buenosaireshistoria.org) 
>> Le Plus Ultra (Wikipédia en anglais)

Nous remarquons également le monument à Washington Irving écrivain américain (1783-1859), connu en particulier pour son ouvrage Une histoire et les voyages de Christophe Colomb (The Life and Voyages of Christopher Columbus), publié en 1828.


>> Washington Irving (Wikipédia)

Nous serons quatre camping-caristes pour la nuit.



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➤ J63 : La Rábida > El Rocío (62 km)

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Le matin, nous  partons à pied en direction du couvent de la Rábida, en passant devant le Foro Iberoamericano, œuvre de José Álvarez Checa et Tomás Curbelo. Il a été construit à l'occasion de la célébration du Ve centenaire de la découverte de l'Amérique. Le Forum est un bâtiment adapté pour accueillir de grands concerts ou spectacles dans son auditorium en plein air.

>> Foro Iberoamericano (Site diphuelva.es)

Nous longeons également le monument Venezuela.
Le 16 décembre 1992, 'La Guacamaya', un hélicoptère vénézuélien a atterri exactement ici, accomplissant un exploit sans précédent : la traversée de l'Atlantique, en commémoration du troisième voyage de Christophe Colomb en Amérique, mais en sens inverse. Le pilote était Francisco Pacheco Díaz.
À cet endroit précis, l'atterrissage de l'hélicoptère est rappelé avec ses empreintes et celles de ses deux membres d'équipage gravées dans le ciment, ainsi qu'une pierre apportée de l'Orénoque et une sculpture réalisée par l'artiste Rafael Barrios. 









En montant vers le couvent, nous passons devant le calendrier aztèque offert à la Rábida par l'Institut de coopération Ibérico-Américaine.




Avant de visiter le monastère, nous ne pouvons manquer la grande colonne de 37 m, le monument des Découvreurs, érigée pour le 400ème anniversaire des découvertes de Christophe Colomb. Offert à l'Espagne par les Etats-Unis en 1929 et sculpté par Gertrude Vanderbilt Whitney, le monument est fait de pierres de Huelva. Il se compose d'une figure humaine (Christophe Colomb ?) reposant sur une croix en forme de Tau. Sur son piédestal se trouve divers Bas-reliefs représentant les cultures Aztèque, Inca, Maya et Chrétienne et les 4 continents.





La visite du monastère Santa María de la Rábida est très instructive, voir émouvante. En effet, c'est à partir de ce modeste monastère que Christophe Colomb s'embarquera pour l'une des plus grandes découvertes du monde moderne. Le monument est encore empli de sa présence, tant par les peintures murales que les documents qu'il conserve.
Un audioguide gratuit en français très bien réalisé permet une agréable et instructive visite.


Le vestibule d'entrée est décoré de fresques contemporaines peintes par l'artiste local Daniel Vázquez Díaz au XXe s. Elles représentent diverses scènes de la vie de Christophe Colomb.







On reste ému, dans la salle de las Banderas (salle des Banières). La plupart des pays d'Amérique ont déposé ici, dans de petits coffres de bois, de la terre de leurs territoires ... 




Détail d'une maquette de la caravelle Santa Maria.

C'est au cours de la visite du monastère que Richard (rencontré à Marbella) nous appel pour nous dire que ce week-end il y a une grande fête autour du cheval à El Rocío. Nous bouleverserons un peu notre programme pour le rejoindre.

A la sortie du couvent nous reprenons la direction du camping-car et visitons cette fois les trois reconstitutions des caravelles de Christophe Colomb ... la Santa María, la Niña et la Pinta. On est surpris à la fois par la petitesse de ces bateaux et leur sobriété. Ce sont véritablement des coquilles de noix ! 


>> Muelle de las Carabelas (Wikipédia espagnol)
>> Muelle de las Carabelas (Site officiel)

Nous  prenons  la route et vers 14h nous arrivons au camping La Aldéa à El Rocío (P4n) (Caramaps), où nous nous installons juste à coté de Richard et Christian.



Après déjeuner, nous nous dirigeons tous vers le centre du village d'El Rocío sur les bords des marais du Parc national Doñana.

Ce village existe car la Vierge del Rocío, qui se trouve dans son église, attire en pèlerinage chaque année à la Pentecôte près d'un million de fidèles (la Romería de El Rocío, ou pèlerinage d'El Rocío). Le reste de l'année il y a très peu de monde. C'est un village très surprenant, avec ses rues de sable et ses maisons aux allures de saloon avec leurs auvents et les poteaux pour attacher les chevaux. La majorité des maisons sont des Hermandades (confréries installées dans de très nombreuses villes en Espagne) et qui servent de lieu de résidence pour leurs pèlerins lors du pèlerinage.

Ce dernier week-end de janvier, il y a beaucoup de monde car des cérémonies sont organisées tout au long du samedi et du Dimanche dans un vingtaines d'Hermandades. Mais rien de touristique ... et aucune communication sur "l'évènement" ...

L'ermitage d'El Rocío a été reconstruit en 1755 après avoir été détruit par le tremblement de terre de Lisbonne. Il fut rénové en 1846 et en 1916. Le lieu sous sa forme actuelle date de 1969.

Lors de notre visite, la Vierge n'est pas présente dans l'ermitage, sans, pour le moment, savoir ni pourquoi, ni où elle est... 
Après enquête (nous avons envoyé un message à la direction des affaires culturelles de la ville d'Almonte), voici la réponse : "Bonjour, la raison pour laquelle la Vierge n'est pas dans l'Ermita del Rocio est qu'elle est dans l'église d'Almonte depuis 2019 et aurait dû retourner à l'ermitage en 2020 et en raison du Covid, le transfert n'a pas pu être effectué, ce sera [fait] le 29 mai de cette année [2022] quand il y revient." (email du 05.05.2022).


Nous nous promenons dans cette ambiance far west ... on a véritablement l'impressions d'être dans un autre monde, une autre époque ... retour vers le passé garanti ... 

Ici, chacun pratique l'équitation aussi facilement que l'on prend la voiture. Ici, il n'est pas rare de voir plusieurs cavaliers devant les nombreux bars du village, les chevaux attachés à de hauts poteaux en bois. 





Après cette promenade hors du temps, retour au camping pour un apéro entre amis ... 


>> El Rocío (Wikipédia)

>> Camping La Aldéa (Site officiel)


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➤ J67 : El Rocío (0 km)

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Dans la journée nous retournons au cœur du village. A l'accueil du camping le programme des bénédictions dans chaque confréries était affiché. 


Malgré cela, impossible de trouver véritablement ce qui se passe et où ! Toujours beaucoup de monde, des chevaux de partout, d'immenses vans.  



Retour au camping, et apéro avec des amis de Richard qui voyagent dans un ancien combi VW. 

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➤ J68 : El Rocío > Minas de Riotinto  (93 km)

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Dans la matinée, après les services au camping, direction Almonte pour faire le plein de gasoil ainsi que quelques courses. Nous prenons ensuite la direction du nord, pour rejoindre la petite ville de Minas de Riotinto dans la sierra Morena.  

Rio Tinto cest également le nom du fleuve qui prend ici sa source, au milieu des gisements de minerais de fer. 

Nous nous arrêtons pour déjeuner sur le parking du musée de la mine (P4n).


Depuis l'antiquité, ce site riche en métaux, situé le long de la rivière Río Tinto est exploité pour sa richesse en cuivre, argent, or, et autres minéraux. 
Le gouvernement vend ces mines en 1873 à un consortium conduit par un riche industriel Hugh Matheson qui fonde une société Rio Tinto. De 1877 à 1891, la mine de Rio Tinto a été le premier lieu de production mondial de cuivre. En 1888, la branche britannique de la famille Rothschild prend le contrôle de l'entreprise. Exploitée pendant 81 ans, la mine est fermée en 2001. Après plus d'une décennie d'inactivité, en 2015, l'exploitation du gisement de Cerro Colorado a été réactivée par la société chypriote Atalaya Mining dans le cadre du «Projet Riotinto».

Après déjeuner, visite du musée de la mine, abrité dans l'ancien hôpital. On y retrouve l'histoire de cette extraordinaire aventure de la mine dans la région, avec en particulier une belle reconstitution d'une galerie de l'époque romaine.

Nous poursuivons la découverte de la ville par la visite de la casa 21 .... Cette demeure d'un ancien ingénieur de mines se trouve dans le quartier de Bellavista, où habitaient les cadres anglais de la société. On est ici dans un pure style british ... cours de tennis, piscine, petite église anglicane ...


Dans le musée, nous avons également pu admirer un wagon de prestige utilisé par le roi Alphonse XIII .... Initialement cette voiture de luxe avait été fabriquée à Birmingham pour la reine Victoria.




Style très cottage du quartier Bellavista à Minas de Riotinto.


Nous choisissons de dormir au bord d'une ancienne mine toute proche. Nous sommes seuls, au bord de l'immense trou de la mine de Corta Atalaya (P4n) (Caramaps). 

L'accès au bivouac se fait par le petit chemin sur la gauche, donnant accès à une immense plateforme.


Voici, en bonus, le survol en drône de notre bivouac .... grâce au Youtubeur The Vadrouilleurs for rêveur ... (qui visitèrent Riotinto en 2011).


Une vidéo très bien, à voir en entier, pour découvrir ces paysages exceptionnels ...

Et une autre vidéo ci-dessous, de La virée d'Hector ... qui, en mars 2023, vont dormir exactement au même endroit que nous.



Et une autre vidéo de la chaîne CampingCarTV ... >> Je Tourisme en Camping-Car N°225 - Parque Minero de Riotinto ...


>> Mines de Riotinto (Wikipédia)
>> Bassin minier de Riotinto-Nerva (Wikipédia espagnol)
>> Société Rio Tinto (Wikipédia)
>> El Río Tinto (fleuve) (Wikipédia)

>> Minas de Riotinto (Site officiel)
>> Minas de Riotinto (Wikipédia espagnol, très complet)

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➤ J69 : Minas de Riotinto > Playa Mata Negra (Punta Umbria) (129 km)

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La nuit fut très calme, seul au monde, ...



Après quelques courses au magasin Dia dans la ville, nous prenons la route pour circuler au milieu de ce paysage minier. 


Nous prenons la direction des réservoirs de Gosán et del Agua. Ces retenues d'eau ont des couleurs surprenantes, et offrent un paysage d'une autre planète !
Le barrage de Gossan a pour vocation de stocker le traitement stérile des usines de concentration de cuivre, ainsi que la récupération des eaux excédentaires qui sont pompées en tête des procédés.
Actuellement, le barrage de Gossan ou Rejondillo a une superficie d'environ 415 000 mètres carrés. Il est traversé par la route Riotinto-Campofrío. 



Après un demi-tour à Campofrío, nous nous arrêtons au belvédère de Minas de Riotinto sur la A-461 au nord de la ville. La vue est assez spectaculaire sur la mine à ciel ouvert ...



Nous retraversons Minas de Riotinto pour rejoindre Nerva et le site minier de Peña de Hierro, aux sources du Riotinto.

Vue sur la ville de Nerva.



Nous déjeunons sur le parking (P4n) avant de visite le petit musée très didactique et passer dans la galerie pour rejoindre le centre du trou de la mine.













Nous prenons la direction de l'Atlantique, en faisant le plein de GPL à Minas de Riotinto. Nous contournons ensuite Huelva par l'ouest pour prendre la direction de Punta Umbria. Nous trouvons un petit spot en bordure de la plage de Mata Negra (P4n).



Nous allons profiter d'un beau coucher de soleil sur l'Atlantique ...

>> Punta Umbria (Wikipédia)

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➤ J70 : Playa Mata Negra (Punta Umbria) > Jerez de la Frontera (290 km)

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Nous devons être à Jerez de la Frontera ce soir. Mais avant nous prenons la route vers 11h30 en direction de la frontière Portugaise. Nous nous arrêtons à Isla Cristina, vers la plage de la Gaviota pour déjeuner.





>> Isla Cristina (Wikipédia)

Après une petite sieste, direction Ayamonte sur la rive gauche du Guadiana qui fait le frontière avec le Portugal.



>> Ayamonte (Wikipédia)

Il nous reste un long trajet pour rejoindre Jerez de la Frontera en passant par Séville. Et c'est en début de soirée que nous arrivons à l'étape du soir, un parking (P4n) pas trop loin de l'Ecole royale d'art équestre. Nous serons ainsi tout proche pour le spectacle de demain.


Nous avons cependant un peu de temps pour repérer l'entrée de l'école pour demain.